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Témoignages

Ils ont bénéficié d'une bourse de la Fondation des Ponts...

Alexandre El Achkar

Ingénieur en Génie Civil et Construction (promotion 2022)

Alexandre El Achkar, diplômé ingénieur de nationalité libanaise, bénéficiaire d'une bourse de la Fondation des Ponts grâce au mécénat de Meridiam, et lauréat du prix Pasquet 2022.

1. Quel est ton parcours ?

Double-diplôme Génie Civil et Construction avec l’Université Saint-Joseph de Beyrouth.

2. Comment as-tu connu l’École des Ponts ParisTech ? Qu’est-ce qui t’a poussé à y postuler ?

Je connaissais l’École des Ponts et Chaussées depuis mon enfance, voire depuis que j’ai commencé à m’intéresser au génie civil, et bien avant mes études supérieures et les classes préparatoires. Elle possède, bien entendu, une réputation prestigieuse dans le monde francophone, et est le rêve de chaque étudiant sérieux, ambitieux et studieux.

3. As-tu bénéficié du programme de parrainage des élèves étrangers par Ponts Alumni ? Si oui, que t’a-t-il apporté ?

Oui, j’ai bénéficié du programme de parrainage des élèves étrangers par Ponts Alumni. Il m’a permis sincèrement de m’intégrer facilement à l’École des Ponts en particulier, et en France de manière générale, d’avoir des conseils fructueux et de m’orienter correctement.

Pour un étudiant étranger qui ne connaît pas beaucoup de choses dans le monde professionnel en France, je trouve que ce programme est très utile et je le recommande fortement.

Je profite, également de ce questionnaire, pour remercier la Fondation des Ponts, et ma marraine, Lamis Aljounaidi, qui ne m’a jamais laissé. Je suis très honoré et très reconnaissant. Vraiment, profondément et sans trop écrire, merci et chapeau bas.

4. Tu as bénéficié d’une bourse pour venir étudier à l’École des Ponts ParisTech, qu’est-ce que cela a changé pour toi ? Aurais-tu pu venir étudier ici sans cette aide ?

Pour être direct, sans cette aide, je n’aurais pas pu venir étudier à l’École des Ponts ParisTech avec toute la situation qui se passe au Liban. Pour vous donner une idée, j’ai quitté le Liban, le taux de change était dans les 10,000 LBP/1 USD, aujourd’hui, il a atteint les 30,000 LBP/1 USD.

En d’autres termes, la bourse m’a permis de continuer à avancer dans la réalisation de mes rêves sans que ma situation financière me soit un obstacle. Je peux franchement dire que la bourse a été investie correctement et j’espère être à la hauteur du diplôme dans les prochaines années à venir.

Je tiens à remercier l’École des Ponts et Chaussées, et tous les membres de son administration pour leurs soutiens et leurs travails.

5. L’enseignement de l’École a-t-il répondu à tes attentes ?

L'enseignement à l'École a pleinement répondu à mes attentes. Je suis peut-être encore jeune pour juger, je préfère répondre après quelques années, mais je suis plus que sûr que les années à venir me montreront la richesse et la pertinence des études à l’École.

6. Une anecdote, un souvenir marquant de ton passage à l’École ?

Le diplôme que j'ai obtenu de M. Alain PECKER, que je lui transmets tous mes respects et mes meilleurs souhaits. C'est parce qu'il vient de lui personnellement, je le prends comme un énorme souvenir que je n'oublierai jamais.

7. Un conseil à donner aux futurs étudiants ?

J'exhorte tous les futurs étudiants à être un exemple de solidarité et de créativité avec leur promotion, les promotions à venir ainsi que les anciens. La concurrence est une nécessité pour rester motivé et créatif mais, doit toujours s'accompagner de solidarité, d'entraide et d'amour de l'autre. Je les encourage à profiter de chaque instant ensemble pour construire de fortes relations entre eux. En reliant les ponts, ils peuvent dépasser l'impossible. La plus grande richesse de l'homme est sa capacité à rêver et à travailler dur pour son rêve. La bourse m'a appris que rien ne doit être un obstacle à nos rêves. De plus, en s'entraidant, nous allumons toutes les bougies qui pourraient faire briller le monde de demain.

De plus, je leur recommande de garder leur esprit prestigieux et élitiste tout en gardant toujours leurs pieds sur terre. Ce sont les vrais leaders de demain. Ils ont une véritable responsabilité de conduire la communauté, aux échelles nationale et internationale, correctement et intelligemment vers la paix, la durabilité et la prospérité.

Enfin, en tant qu'étudiant international à l'École des Ponts ParisTech, j'encourage vivement les étudiants français à s'intégrer davantage avec leurs collègues internationaux. N'attendez pas qu'ils viennent vers vous. Montrez-leur votre riche culture et faites d'eux des ambassadeurs mondiaux de la francophonie.

8. Que penses-tu faire après l'École des Ponts?

Devenir, dans un premier temps, un ingénieur reconnu pour son expertise et son travail sérieux.

Occuper, ultérieurement, des positions managériales et clés pour répondre aux enjeux stratégiques des entreprises.

Joseph Compernolle

Ingénieur en génie civil et construction (promotion 2021)

Joseph Compernolle, ingénieur en génie civil et construction (promotion 2021), bénéficiaire d’une bourse de la Fondation des Ponts.

Quel est ton parcours ?
J’ai intégré l’Ecole des Ponts en 2018 après trois années passées en prépa au lycée Faidherbe. J’ai choisi en deuxième année de suivre le parcours GCC “génie civil et construction”. Par la suite j’ai opté pour une année de césure, passant mes six premiers mois œuvrant à la transformation digitale de l’entreprise Polygon, spécialisée dans les sauvetages après sinistres. Mon deuxième stage s’est passé au sein de Bateg – Vinci Construction, au chantier de la Tour Hekla, à Puteaux. J’ai, au cours de cette année de césure, développé un intérêt pour les langues étrangères, en particulier pour les langues latines. Cela m’a conduit à postuler pour un double-diplôme à l’étranger, après réflexion c’est l’EPUSP (Ecole Polytechnique de l’Université de São Paulo), au Brésil, à laquelle j’ai postulée, et dans laquelle j’étudie aujourd’hui. Je suis également en alternance entre l’EPUSP - filière Immobilier, et Sowitec, entreprise spécialisée en projets éoliens et solaires.

Comment as-tu connu l’École des Ponts ParisTech ? Qu’est-ce qui t’a poussée à y postuler ?
Ayant toujours été intéressé par le monde de la construction, je cherchais à intégrer une école spécialisée dans ce domaine, les Ponts en cela représentait pour moi l’école parfaite à intégrer après une prépa.

Tu as bénéficié d’une bourse financée par la Fondation des ponts, qu’est-ce que cela a changé pour toi ? Aurais-tu pu venir étudier ici sans cette aide ?
Tout à fait, j’ai bénéficié de la bourse Coiffard, je tiens particulièrement à remercier les donateurs ainsi que ceux qui me l’ont attribuée. Sans cette bourse j’aurais tout de même pu étudier à l’étranger, mais avec bien plus de mal financièrement parlant. Cette bourse m’a permis tout d’abord de payer mon billet d’avion jusqu’au Brésil, et également de pouvoir payer mes premiers loyers, une aide considérable dont j’aurais eu du mal à me passer, et ce jusqu’à me trouver une alternance pour prendre le relai.

L’enseignement de l’École a-t-il répondu à tes attentes ?
Tout à fait, j’y suis rentré dans l’idée de prolonger mes acquis de prépa, puis me spécialisant en construction, l’école m’a apporté une culture de génie civile, qui m’a été très favorable, notamment en stage. Les cours des Ponts m’aident encore aujourd’hui, un an et demi plus tard et à l’autre bout du monde, il m’arrive de ressortir mes cours pour tirer un doute. J’ai également apprécié la diversité des cours, nous proposant cours de sciences pures, mais également cours plus typés économiques, gestion d’entreprise, ou encore de droit. Ces cours peuvent sembler futiles pour un ingénieur alors qu’ils forment en réalité le noyau de connaissances de toute personne voulant un jour créer son entreprise et voler de ses propres ailes.

Une anecdote, un souvenir marquant de votre passage à l’École ?
Je garde un très bon souvenir des moments passés aux Ponts avec les amis que je m’y suis fait, et un très bon souvenir également de la vie associative et de la Junior Entreprise Ponts Etudes Projets, et des amis avec lesquels je travaillais. Cette vie sociale et associative, si elle n’est pas à proprement parler “scolaire”, est primordiale à l’école, pour la formation d’une cohésion de promotion, amenée à durer dans le temps.

Un conseil à donner aux futurs étudiants ?
Je conseille aux futurs étudiants de ne pas avoir froids aux yeux et de chercher à profiter de leur dernière année pour étudier à l’étranger : les cours y sont complémentaires à ceux des Ponts, et l’on y bénéficie d’un enseignement qu’aucune école ne nous apprend : celui de pouvoir découvrir et se débrouiller seul dans un pays jusque-là inconnu. C’est en quelques sortes un grand saut dans l’inconnu, on y apprend énormément sur le monde et sur soi. Je recommande fortement.

Que penses-tu faire après l’École des Ponts ?
Une fois mon diplôme obtenu (normalement fin 2022), plusieurs possibilités s’offrent à moi, l’une d’entre elles étant de rester au Brésil, toujours au sein de la même entreprise. J’envisage également de continuer sur un VIE, ou de travailler dans le milieu immobilier de São Paulo. Dans la plupart des scénarii je resterais à l’étranger, et avec forte probabilité au Brésil.

Anas Bourabaa

Diplômé ingénieur (promo 2023)

Anas Bourabaa, dipômé ingénieur (Département Génie Civil et Construction) de nationalité marocaine, bénéficiaire d’une bourse de la Fondation des Ponts.

Quel est votre parcours
De 2016 à 2018 j'ai effectué une classe préparatoire aux grandes écoles CPGE dans la filière MP. J'ai ensuite intégré jusqu'en 2020 l'Ecole Hassania des Travaux Publics EHTP dans la filière Génie Civil. Ce qui m'a permis de rentrer à l'Ecole des Ponts ParisTech en 2020 et d'y obtenir mon diplôme d'ingénieur en 2023, dans le Département Génie Civil et Construction.

Comment avez-vous connu l’École des Ponts ParisTech ? Qu’est-ce qui vous a poussé à y postuler ?
J’ai choisi l’Ecole Nationale des Ponts et Chaussées (ENPC) pour des raisons précises. Tout d'abord, la qualité de la formation dans cette école, surtout qu’elle valorise les projets et la formation sur le terrain. Les partenariats et les liens étroits avec des laboratoires de haut calibre (Navier, LEESU, LHSV…) par exemple, Navier a un équipement scientifique unique appelé le Micro-tomographe (son rôle est l’analyse des matériaux et des structures sous sollicitations thermo-hydromécaniques par les rayons X). Des universités et des instituts prestigieux (Paris-est, CGE, Paris-Tech, incubateur Descartes,..). Les entreprises de construction leader dans leur domaine (BOUYGUES CONSTRUCTION, BOUYGUES IMMOBILIER, COLAS, EIFFAGE, LEON GROSSE, SPIE BATIGNOLLES, VINCI), chose qui approche l’élève au métier de Génie Civil à travers les stages, les projets, les PFE, les visites, la bibliographie, …
Puis pour sa polyvalence, en effet, la vocation généraliste permet d’aborder plusieurs sujets, d’être compétent dans plusieurs domaines et non seulement un. Elle permet d’avoir une formation très profonde en génie civil et dans le cadre de la thématique d’EUCEET (European civil engineering education and training) car elle est membre de l’EUCEET.

Avez-vous bénéficié du programme de parrainage des élèves étrangers par Ponts Alumni ? Si oui, que vous a-t-il apporté ?
Oui, d’un côté, avoir un parrain Alumni de l’école m’a permis de mieux m’intégrer, de connaître davantage la culture Française en tant qu’un étranger. De l’autre côté, je trouve que c’est très intéressant le partage d’expérience et les différents conseils qu’on reçoit en échangeant avec le parrain (Correction de CV, préparation aux entretiens etc…). Beaucoup de mes camarades de classe ont pu trouver leur premier stage par le biais de leurs parrains.

Vous avez bénéficié d’une bourse pour venir étudier à l’École des Ponts ParisTech, qu’est-ce que cela a changé pour vous ? Auriez-vous pu venir étudier ici sans cette aide 
Sans bourse, je n’avais pas du tout la possibilité de venir étudier en France, surtout que la situation financière de mes parents ne me permet pas de financer mes études en France et aussi de payer les frais de scolarité de l’école qui sont élevés.

L’enseignement de l’École a-t-il répondu à vos attentes ?
La formation au sein de l’école des Ponts est très approfondie et me permet de travailler sur des thématiques qui ne sont pas disponibles dans mon pays. Hormis les portes et les opportunités qu’on reçoit en tant qu’un PONTiste (réseaux, Labo…). Mes objectifs sont atteints.

Une anecdote, un souvenir marquant de votre passage à l’École ?
Le souvenir le plus marquant au sein de l’école est la journée de Skult, où chaque région prépare ses fameux plats et on les partage avec les autres. Cet événement crée un moment de partage et d’échange sans exemplaire et c’est un moment pour faire des connaissances et découvrir toutes les cultures.

Un conseil à donner aux futurs étudiants ?
Le conseil que je peux donner aux futurs étudiants est de diversifier leurs activités : se concentrer sur les études d’un côté et de participer à d’autres activités en parallèle de l’autre côté, notamment celles offertes par l’école (les évènements, workshops, parascolaire etc…). Et cela, afin de développer son savoir-faire et son savoir-être.

Que pensez-vous faire après l’École des Ponts ?
Après l’obtention de mon diplôme, j’envisage de travailler dans un bureau d’étude pour pouvoir maîtriser davantage mes acquis théoriques de l’école, et aussi pour les mettre en pratique. Ensuite, après avoir acquis suffisamment d’expérience, j’envisage travailler sur site dans les travaux, me développer au sein du même organisme en montant les échelons. Mon objectif est de construire une idée claire et précise sur le cycle de vie d’un projet, en allant de l’expression du besoin jusqu’à la livraison définitive du projet. À long terme, j’envisage compléter ma formation avec un MBA, pour pouvoir développer davantage mes compétences de gestion et cela dans l’objectif de me préparer à des hauts postes de gestion et de prise de décisions.
En parallèle, j’envisage rester très actifs dans la vie associative et fidèle à l’entrepreneuriat sociale, en cherchant en permanence des projets innovants et créatifs pour apporter de la valeur ajoutée à ma communauté. Après avoir créé une association au MAROC qui s’appelle AOP : Association d’orientation pédagogique, j’envisage la développer et d’élargir son impact pour pouvoir aider le maximum d’étudiants à choisir leur carrière professionnelle la plus adaptée à leur recherche.

Laura STOFFEL

Master 2 TET 2019-2020

Laura STOFFEL, architecte de formation, maintenant, en master 2 TET ((transition énergétique et territoire), bénéficiaire d’une bourse de la Fondation des Ponts.

Comment as-tu connu l’École des Ponts ParisTech ? Qu’est-ce qui t’a poussée à y postuler ?
L’école des ponts à une forte notoriété. Je suis tombée par hasard sur l’intitulé de ce master qui regroupe une bonne partie de mes convictions et c’est pourquoi j’ai voulu postuler.

Tu as bénéficié d’une bourse financée par la Fondation des ponts, qu’est-ce que cela a changé pour toi ? Aurais-tu pu venir étudier ici sans cette aide ?
J’ai bénéficié de la bourse Saint-Gobain pour la chaire « SOLUTIONS INNOVANTES POUR UN HABITAT DURABLE ET RESPONSABLE »
Je n’aurais surement pas pu faire ce master sans cette bourse. Elle m’a permis de payer les frais d’inscriptions et de vivre « correctement » à Paris pendant l’année.
Cette bourse m’a également donné confiance dans mon choix de parcours.

L’enseignement de l’École a-t-il répondu à tes attentes ?
Oui tout à fait, même au-delà de mes attentes. Les cours sont d’une très grande qualité.

Un conseil à donner aux futurs étudiants ?
« N’hésitez pas à rentrer dans cette école ! Le master TET et parfait pour compléter ses études (venant de domaines différents). Il donne une approche holistiques et global du monde de l’énergie »

Que penses-tu faire après l’École des Ponts ?
A court et moyen terme je souhaiterais travailler dans la gestion des ressources naturelles pour limiter notre impact sur l’environnement. Et par la suite ouvrir peut être une entreprise liant l’architecture et les matériaux locaux durables et réutilisables.

Lemane LEMANA

Ingénieur en génie mécanique et matériaux (promotion 2022)

Lemane LEMANA,ingénieur en génie mécanique et matériaux (promotion 2022) , bénéficiaire d’une bourse de la Fondation des Ponts.

Comment as-tu connu l’École des Ponts ParisTech ? Qu’est-ce qui t’a poussée à y postuler ?
J’ai connu l’école des ponts grâce à la convention de double diplomation entre l’école des ponts et l’école nationale d’ingénieurs de Tunis où j’étais avant d’intégrer l’ENPC.
C’est la réputation de l’école qui m’a poussée à postuler. De plus, il y avait le fait d’avoir deux diplômes.

Avez-vous bénéficié du programme de parrainage des élèves étrangers par Ponts Alumni ? Si oui, que vous a-t-il apporté ?
J’ai bénéficier du programme, mais vu la situation sanitaire il n’y avait pas des activités et pour le début de l’année 2019-2020, mon parrain m’a envoyé un message en disant que nous pouvons fixer un rdv pour un échange, mais nous n’avons pas trouvé du temps.

Tu as bénéficié d’une bourse financée par la Fondation des ponts, qu’est-ce que cela a changé pour toi ? Aurais-tu pu venir étudier ici sans cette aide ?
J’ai bénéficié de la bourse de fondation des Ponts pour l’année 2019-2020, ça m’a vraiment aidé à se concentrer sur mes études, et n’a pas avoir besoin de chercher un job étudiant.

L’enseignement de l’École a-t-il répondu à tes attentes ?
L’enseignement à l’ENPC est vraiment excellent, il m’a notamment offert une opportunité pour me spécialiser dans la mécanique et matériaux au lieu du génie mécanique tout entier.

Un conseil à donner aux futurs étudiants ?
Il faut bien s’intégrer dans la vie étudiante, comme ça ils peuvent travailler beaucoup sans s’ennuyer !

Que penses-tu faire après l’École des Ponts ?
J’aimerais intégrer l’une des grandes entreprises, du domaine de l’ingénierie mécanique et matériaux.

Anastasios KOULOGIANNIS

Élève ingénieur (promo 2020)

Anastasios KOULOGIANNIS, élève ingénieur (département Génie Civil et Construction) de nationalité grecque, bénéficiaire d’une bourse de la Fondation des Ponts.

Quel est ton parcours à l’École des Ponts ?
Je suis un étudiant au sein du département Génie civil et construction. Et, je viens de terminer ma deuxième année aux Ponts. Je suis actuellement à l'étranger pour un stage long.
L'année prochaine, je poursuivrai mes études en master Science des matériaux pour la construction durable.

Comment as-tu connu l’École des Ponts ParisTech ? Qu’est-ce qui t’a poussé à y postuler ?
J'ai connu l’École des Ponts ParisTech grâce à mon école en Grèce.
J'ai décidé d’y postuler pour son haut niveau académique, mais aussi pour l’expérience multiculturelle qu'elle offre.

As-tu bénéficié du programme de parrainage des élèves étrangers par Ponts Alumni ?
Ce programme de parrainage m’a aidé pour mon intégration scolaire et m’a également guidé dans mes choix.

Tu as bénéficié d’une bourse financée par la Fondation des ponts, qu’est-ce que cela a changé pour toi ? Aurais-tu pu venir étudier ici sans cette aide ?
J’ai pu intégrer l'ENPC grâce à la bourse de LafargeHolcim. Sans cette aide, il m’aurait été très difficile de participer à ce programme car mes ressources financières sont très limitées.

L’enseignement de l’École a-t-il répondu à tes attentes ?
L'enseignement scolaire est excellent et j’ai beaucoup appris.

Une anecdote ou un souvenir marquant de ton passage à l’École ?
Quelques souvenirs marquants sont les voyages que nous avons effectués dans le cadre de certains cours de l’École. Ces déplacements étaient l’occasion idéale de combiner l’apprentissage en cours et la connaissance d’autres villes.

Un conseil à donner aux futurs étudiants ?
Durant votre séjour à l'école, essayez de tirer profit de ce qu'elle a à vous offrir, tant au niveau académique qu’au niveau culturel car il s’agit d’une expérience unique.

Que penses-tu faire après l’École des Ponts ?
Après l’École des Ponts, je pense poursuivre mes études en doctorat, en France ou à l’étranger.

Adji Diotemba

Élève ingénieur (promo 2020)

Adji Diotemba, élève ingénieur (département GMM) de nationalité togolaise, bénéficiaire d’une bourse de la Fondation des Ponts.

Quel est votre parcours ?
Après deux ans en Génie Civil au Maroc, j’ai pu être accepté dans le cadre d’un accord de Double diplôme avec l’Ecole des Ponts dans le département GMM. Après un an, j’ai fait un stage long, en Mécanique et en Génie Civil. Enfin en Troisième année aux Ponts, j’ai décidé de faire un cursus imbriqué avec le Master Sciences des Matériaux pour la Construction Durable. Ce qui valide mes trois diplômes : Mon diplôme d’ingénieur d’Etat en Génie Civil de l’EHTP, Mon diplôme d’ingénieur d’Etat en Génie Mécanique et Matériaux de l’Ecole des Ponts ainsi que mon diplôme de Master en Sciences des Matériaux pour la Construction Durable de l’Ecole des Ponts.

Comment avez-vous connu l’École des Ponts ParisTech ? Qu’est-ce qui vous a poussé à y postuler ?
J’ai connu l’Ecole des Ponts lors de mes concours pour accéder aux grandes écoles au Maroc et j’y ai postulé tout simplement parce qu’elle est une référence mondiale dans les départements qui y sont représentés, ce qui m’a permis de pouvoir mener à bien mon projet professionnel.

Vous avez bénéficié d’une bourse pour venir étudier à l’École des Ponts ParisTech, qu’est-ce que cela a changé pour vous ?
La bourse m’a été forte utile puisque je ne suis pas, de base, issue d’une famille qui a les moyens de m’envoyer dans une ville comme Paris. J’ai toujours eu l’habitude de vivre grâce à des
bourses et des aides. Cela a donc représenté une grande aide, qui m’a permis de me concentrer à temps plein sur mes études et de pouvoir avoir le succès que j’ai eue, c’est-à-dire des mentions Bien et Très bien.

L’enseignement de l’École a-t-il répondu à vos attentes ?
Oui sans aucun doute. Il a répondu parfaitement à ce que je m’attendais. Les cours théoriques et scientifiques sont de très haut niveau avec un corps enseignant venant la plupart du monde de
l’entreprise ou de laboratoires de recherches de renommés.

Une anecdote, un souvenir marquant de votre passage à l’École ?
Mon souvenir le plus marquant ça a été le voyage de département à Munich en deuxième année où j’ai eu l’occasion de pouvoir assister au processus de fabrication des BMW.

Un conseil à donner aux futurs étudiants ?
Le seul conseil que je pourrai donner est de toujours persévérer dans les études en ayant une seule chose en tête : la réalisation de son projet professionnel. Ne pas se laisser aller dans les foyers et
évènements qui prennent la plupart du temps beaucoup de concentration et de temps qui auraient pu servir.

Que pensez-vous faire / Qu’avez-vous fait - après l’École des Ponts ?
Je vais commencer une thèse avec l’IFFSTAR pour début Octobre en collaboration avec l’entreprise OSMOS pour trois ans au bout de laquelle je déciderai soit de travailler en entreprise ou plutôt de continuer dans le domaine de la pure recherche.

Camila Christine DOS SANTOS ANTÃO

Élève ingénieur (promo 2022)

Camila Christine DOS SANTOS ANTÃO, élève ingénieur (Département Ville, Environnement et Transports – filière transports) de nationalité brésilienne, bénéficiaire d’une bourse de la Fondation des Ponts.

Comment as-tu connu l’École des Ponts ParisTech ? Qu’est-ce qui t’a poussée à y postuler ?
L’École Polytechnique de l’Université de São Paulo, mon école d’origine, possède plusieurs partenariats avec des instituts étrangers, surtout en Europe. Pour les élèves d’ingénierie civile, il est fréquent de postuler pour étudier en France et l’École des Ponts Paristech est la plus célèbre. Grâce à l’existence d’un département dédié aux études de transports de passagers, j’étais très motivée pour partir à l’étranger, pour faire une formation de Double Diplôme.

As-tu bénéficié du programme de parrainage des élèves étrangers par Ponts Alumni ?
Oui, ma marraine est espagnole et elle parle parfaitement le Français et le Portugais. Elle est jeune et elle est aussi une élève étrangère, nous avons pu partager nos expériences et j’ai été bien accueillie par elle et par les autres parrains.

Tu as bénéficié d’une bourse financée par la Fondation des ponts, qu’est-ce que cela a changé pour toi ? Aurais-tu pu venir étudier ici sans cette aide ?
La bourse a changé complètement le contexte de mon départ en France et sans elle, probablement, j’aurai dû interrompre mes études à l’École des Ponts. Je viens d’une famille simple et à l’époque, il a été très difficile pour mes parents de m’aider à couvrir mes dépenses puisque les démarches, en général, sont chères (je travaillais pour économiser de l’argent, mais ma situation socioéconomique n’était pas si optimiste). Donc, l’aide financière de la Fondation des Ponts m’a permis d’avoir une expérience excellente d’échange.

L’enseignement de l’École a-t-il répondu à tes attentes ?
Bien sûr. Avec la formation au sein du département VET, j’ai pu en même temps approfondir et élargir mes connaissances. Maintenant, après avoir suivi les cours de la deuxième année, je suis plus sûre de mes compétences académiques et professionnelles.

Une anecdote ou un souvenir marquant de ton passage à l’École ?
Le jour où il a neigé ! C’était la première fois que je voyais de la neige.

Un conseil à donner aux futurs étudiants ?
Une phrase qui m’a toujours poussée, c’est la suivante : « nos rêves sont la poésie de notre âme. Alors, persévérez et profitez-bien de chaque opportunité, n’arrêtez jamais de rêver. »

Que penses-tu faire après l’École des Ponts ?
À la fin de ma formation à l’École des Ponts, j’aurais besoin de revenir dans mon pays pour terminer mes études et enfin obtenir les deux diplômes. Je pense à dédier une partie de ma carrière à l’académie, parce que j’aime bien travailler comme chercheur et professeur, alors un programme de Doctorat répondrait bien à mes attentes. En tant que professionnelle, je voudrais développer des projets d’infrastructure de transports dans des pays sous-développés, surtout au Brésil. Je suis certaine qu’avec nos connaissances, nous sommes capables de changer la réalité actuelle et d’offrir aux générations prochaines des meilleures conditions de vie.

Rebeca FERNANDEZ VERA

Élève ingénieur - promo 2020

Rebeca FERNANDEZ VERA, élève ingénieur (Génie Industriel – promo 2020) de nationalité Colombienne, bénéficiaire d’une bourse de la Fondation des Ponts.

Qu’est-ce qu’il ta poussé à postuler à l’École des Ponts ParisTech ?

Dans mon école d’origine on nous a présenté l’ensemble d’institutions appartenant au cercle ParisTech, et l’École des Ponts a attiré mon attention grâce à leur expérience sur les projets concernant le développement durable.

Tu as bénéficié d’une bourse financée par la Fondation des Ponts, qu’est-ce que cela a changé pour toi ? Aurais-tu pu venir étudier ici sans cette aide ?

L’aide financière que j’ai reçu m’a permis de ne pas avoir besoin de demander un crédit en Colombie pour financer mes dépenses pendant ma première année. Nous avions déjà demandé un crédit pour financer l’échange académique de mon frère, et encore aujourd’hui nous n’avons pas fini de le payer. Donc, cela a constitué une vraie aide pour ma famille et moi.

L’enseignement de l’École a-t-il répondu à tes attentes ?

Oui, il a dépassé mes attentes. J’ai été surprise par l’éventail des parcours proposés et par l'aide de la directrice de mon département dans mon choix de cours chaque semestre.

Un conseil à donner aux futurs étudiants ?

S’investir dès le début, bien choisir les cours selon ce dont on a besoin et intérêt d’apprendre, et profiter pour apprendre des autres élèves (cultures, langues, etc).

Que penses-tu faire après l’École des Ponts ?

Ça dépend de ce que je vais découvrir dans mon année de césure et ma troisième année !

Thi Ngà NGUYEN

Élève ingénieure (promo 2021)

Thi Ngà NGUYEN, élève ingénieure (département Génie Civil et Construction) de nationalité vietnamienne, bénéficiaire d’une bourse de la Fondation des Ponts.

Quel est ton parcours à l’École des Ponts ?
J’ai intégré l’École des Ponts ParisTech dans le cadre d’un double diplôme avec l’École nationale supérieure de Génie Civil d’Hanoï.
Je suis actuellement étudiante au sein du département Génie Civil et Construction.

Comment as-tu connu l’École des Ponts ParisTech ? Qu’est-ce qui t’a poussé à y postuler ?
L’Ecole des Ponts ParisTech est partenaire avec mon établissement d’origine.
J’ai décidé d’y postuler sur les recommandations de mes professeurs, car c’est une grande école prestigieuse française, dans le domaine de l’ingénierie. Donc, c’est une chance de pouvoir y étudier.

As-tu bénéficié du programme de parrainage des élèves étrangers par Ponts Alumni ?
Oui. Je bénéficie de l’accompagnement d’une marraine.

Tu as bénéficié d’une bourse financée par la Fondation des ponts, qu’est-ce que cela a changé pour toi ? Aurais-tu pu venir étudier ici sans cette aide ?
Cette bourse m’a aidé à me prendre en charge financièrement pour les études et pour le reste également. Cela me permet de me concentrer un maximum sur les cours.
Si, je n’avais pas eu la chance de recevoir cette bourse, je pense que je serais venue étudier en France. Mais, j’aurais été obligée de rechercher un job étudiant, le week-end ou le soir après les cours.

L’enseignement de l’École a-t-il répondu à tes attentes ?
Oui, tout à fait. Je suis très satisfaite de l’enseignement fourni par l’École.

Une anecdote ou un souvenir marquant de ton passage à l’École ?
L’école est très moderne. De plus, il y a deux écoles dans le même bâtiment.

Un conseil à donner aux futurs étudiants ?
Essayez d’acquérir un maximum de connaissances à l’Ecole des Ponts, car y être étudiant, est vraiment un atout pour votre carrière professionnelle.

Que penses-tu faire après l’École des Ponts ?
Je voudrais débuter ma carrière professionnelle en France. Puis, après quelques années de travail, je retournerai au Vietnam.

Giorgio BOSO

Élève ingénieur (promo 2020)

Giorgio BOSO, élève ingénieur (département Ville, Environnement et Transport, filière transport) de nationalité Italienne, bénéficiaire d’une bourse de la Fondation des Ponts.

Quelles sont les raisons qui t’ont poussé à postuler à l’École des Ponts ?
J’ai intégré l’ENPC dans le cadre d’un programme de double diplôme avec l’école Politecnico di Milano.

Tu as bénéficié d’une bourse financée par la Fondation des Ponts, qu’est-ce que cela a changé pour toi ? Aurais-tu pu venir étudier ici sans cette aide ?
Obtenir une bourse d’étude de la Fondation, cela a signifié pour moi d’être indépendant économiquement de mes parents. Je pense que, cela motive une personne à mieux conduire son parcours à l’ENPC. J’aurais quand même pu intégrer ce programme, mais c’est sûr que cette aide a été très significative pour moi.

L’enseignement de l’École a-t-il répondu à tes attentes ?
Oui bien-sûr. L’accompagnement personnel fourni par l’École à ses élèves est de qualité, et l'intégration dans le monde du travail est bonne.

Une anecdote, un souvenir marquant de ton passage à l’École ?
A mon arrivée le premier jour, je ne parlais pas du tout français et c’était donc difficile de comprendre les notions de base.

Que penses-tu faire après l’École des Ponts ?
J'ai l'intention de continuer avec Meridiam, l'entreprise qui m'a attribué cette bourse et qui m'a également pris en stage. Par ailleurs, je voudrais profiter des opportunités professionnelles en France.

Kálita Louhanny GOMES SOARES

Elève ingénieur – promo 2019

Kálita Louhanny GOMES SOARES, élève ingénieur (Ville, Environnement et Transports – promo 2019) de nationalité Brésilienne, bénéficiaire d’une bourse de la Fondation des Ponts.

Quel est ton parcours ?

J’ai fait un lycée technique au Brésil de 2010 jusqu’en 2012, à Belo Horizonte, ce qui m’a donné l’envie d’intégrer l’Ecole d'ingénierie de l’Université Fédérale du Minas Gerais. J’ai commencé donc ma formation de Génie Civil en mars 2013 et en août 2016 je suis venue en France pour compléter ma formation dans le cadre d’un accord de double-diplôme entre mon école d’origine et l’Ecole des Ponts. De ce fait, j’ai fait la 2ème année à l’Ecole (année 2016-2017), dans le département Ville, Environnement et Transports (VET). Mon domaine de spécialisation c’est l’aménagement urbain et j'ai travaillé à l’Institut d’Aménagement et d’Urbanisme de l’Ile de France (stage de 6 mois).

Qu’est-ce qu’il ta poussé à postuler à l’École des Ponts ParisTech ?

J’ai entendu parler de l’Ecole des Ponts dès ma rentrée en 2013 à l’Ecole d’Ingénieurs au Brésil. On nous l’a présentée en tant qu’une école très réputée en France aussi bien qu’ailleurs et dont les valeurs priment aussi par la mondialisation de son effectif d’étudiants et le renforcement des partenariats avec les écoles étrangères. J’ai toujours voulu avoir une expérience à l’étranger et je savais que cet accord de double-diplôme était une très bonne occasion pour le faire. Avec le souhait d’enrichir et de diversifier mon parcours professionnel et de développer mes compétences de communication et ma personnalité à la fois, j’ai pris la décision de postuler à l’Ecole avec même trois années d’anticipation.

Tu as bénéficié d’une bourse financée par la Fondation des Ponts, qu’est-ce que cela a changé pour toi ? Aurais-tu pu venir étudier ici sans cette aide ?

Concrètement, ce qui m’a permis de venir étudier en France c’est la bourse de la Fondation des Ponts. Sans ce complément financier je ne serais pas en mesure de m’occuper de tous les frais dont on est soumis à l’École et dans la vie quotidienne. Il est vrai que le cadre de vie et d’études ici est beaucoup plus cher par rapport au Brésil et mes parents n’auraient pas pu m’aider de toute façon.

L’enseignement de l’École a-t-il répondu à tes attentes ?

Ayant toujours eu un fort esprit critique, j’admets que ce n’est pas évident qu’une école puisse accomplir tous ses objectifs de qualité d’enseignement, de recherche, de structure physique, d’accueil et d’intégration et etc à la fois. L’école des Ponts se réaffirme forte dans ce qui concerne la recherche par exemple et pourtant en termes d’enseignement je considère qu’elle se trouve vraiment sur un pied d’égalité, avec mon école au Brésil.

Une anecdote, un souvenir marquant de votre passage à l’École ?

Ce serait difficile d’en choisir qu’une seule , tellement on a eu pendant cette année mémorable ! Mais je pourrais souligner notre voyage de département au Maroc, qui a été superbe et très enrichissant et qui a permis une excellente intégration dans notre promo VET en général.

Un conseil à donner aux futurs étudiants ?

Mon seul conseil c’est qu’il ne faut surtout pas avoir peur d’une immersion complète. La vie à l’école ne se fait pas que par les études. Les expériences possibles sont infinies dans le sens où il y aura toujours quelqu’un qui va t'aider dans ton projet pour installer un atelier de réparation de vélos dans la cité Descartes ou de ton souhait de créer une nouvelle start-up de recyclage de piles ou tout simplement de ton envie d’aller faire des randonnées occasionnelles au Bois de l’Etang. Tout ça ne fait que nous aider à tracer notre parcours (professionnel et personnel).

Que penses-tu faire après l’École des Ponts ?

C’est la question difficile ! Après finir mes études à l’Ecole des Ponts je dois rentrer au Brésil pour terminer mes études, toujours dans le cadre de l’accord de double-diplôme, pendant un semestre. Ensuite, je pense initier une expérience professionnelle dans le domaine publique, où je pourrai apporter mes compétences acquises ici en France. A voir ce que nous réserve la vie !

Youri PASCAL-ABDELLAOUI

Élève ingénieur (promotion 2020)

Bénéficiaire d’une bourse de la Fondation des Ponts.

Quelles sont les raisons qui t’ont poussé à postuler à l’École des Ponts ?
Selon moi, L’École des Ponts ParisTech est la meilleure école de génie civil de France et dans le TOP 5 des écoles d’ingénieurs dans le monde. J’y suis allé pour découvrir le haut niveau (professeurs et élèves). Le Master Recherche en Mécanique est très coté et super intéressant.

Tu as bénéficié d’une Bourse financée par la Fondation des Ponts, qu’est-ce que cela a changé pour toi ? Aurais-tu pu venir étudier ici sans cette aide ?
J’ai eu l’immense privilège d’obtenir une bourse d’excellence de la part de la Chaire Saint-Gobain. Cette bourse m’a permis dans un premier temps de financer mes études (frais de scolarité et loyer), mais également de découvrir une entreprise, qui est Saint-Gobain, très intéressante de par ses métiers et la pluridisciplinarité de ses secteurs.

L’enseignement de l’École a-t-il répondu à tes attentes ?
Tout à fait. Le cursus ingénieur est très riche car les professeurs sont les meilleurs dans leur domaine. Mais ce qui m’a énormément plu est le master "Analyse multi échelles pour les matériaux et les structures" (AMMS) car il m’a permis de pratiquer aussi bien la théorie que la technique. Il permet en outre une excellente insertion dans le monde de la recherche. De ce point de vue, je suis totalement satisfait de mon cursus effectué à l’ENPC.

Une anecdote, un souvenir qui a marqué de ton passage à l’Ecole ?
Le mur avec l’ensemble des partenaires industriels de l’École.

Un conseil à donner aux futurs étudiants ?
Profitez de l’école d’ingénieur après la prépa (association, vie étudiante…), mais pas trop quand même pour ne pas avoir de mauvaises surprises.
Puis du point de vue professionnel, déterminez - à travers les cours, vos professeurs, les intervenants, les forums, les stages - votre voie professionnelle. Plus vous aurez d’expériences, mieux vous saurez quel métier se rapproche de votre métier idéal.

Que penses-tu faire après l’École des Ponts ?
Grâce à la bourse d’excellence et au Master AMMS, je poursuis ma scolarité en thèse à EDF R&D Paris Saclay, « Thèse en simulation numérique en mécanique des structures et fluides ».

Anis HANNOUCHE

Elève ingénieur – promo 2019

Anis HANNOUCHE, élève ingénieur (Département Ville, Environnement et Transports – promo 2019) de nationalité Libanaise, bénéficiaire d’une bourse de la Fondation des Ponts.

Quel est ton parcours ?

J’ai étudié le génie civil au Liban de 2013 jusqu’en 2017, puis j’ai pu intégrer l’ENPC au sein du département VET-Transport grâce à un accord de double diplôme.

Qu’est-ce qu’il ta poussé à postuler à l’École des Ponts ParisTech ?

Mon école au Liban, l’Ecole Supérieure des Ingénieurs de Beyrouth, et l’ENPC ont conclu il y a quelques années un accord de double diplôme. C’était une très belle opportunité d’intégrer une école prestigieuse, avec un diplôme aussi reconnu.

Tu as bénéficié d’une bourse financée par la Fondation des Ponts, qu’est-ce que cela a changé pour toi ? Aurais-tu pu venir étudier ici sans cette aide ?

J’ai reçu la confirmation de l’obtention de la bourse quelques semaines avant mon arrivée en France (mi-juillet). Il est vrai que j’aurai pu venir sans la bourse, mais son obtention m’a beaucoup aidée au niveau des différentes dépenses.

L’enseignement de l’École a-t-il répondu à tes attentes ?

L’enseignement de l’Ecole est très bénéfique. En plus, il y a le réseau des anciens ainsi que des contacts avec différentes entreprises qui organisent régulièrement des conférences à l’Ecole.

Une anecdote, un souvenir marquant de votre passage à l’École ?

Il serait difficile de choisir un seul moment. Je peux parler des nouveaux amis que j’ai rencontrés, qui viennent de différents pays dans le cadre de double diplôme également. Les moments passés ensemble resteront des souvenirs inoubliables.

Un conseil à donner aux futurs étudiants ?

Je leur conseillerai de profiter de l’opportunité que leur présente l’ENPC tant au niveau académique qu’au niveau social.

Que penses-tu faire après l’École des Ponts ?

J’ai encore ma 3eme année à effectuer à l’Ecole, donc je reste ouvert à toute sorte de projets.

Olatodun OLATUNJI

Elève MBA in Innovation Management (promotion 2017-2018)

Originaire du Nigeria, Oladotun Olatunji est le lauréat de la bourse de la Fondation des Ponts de 2017/2018. Avant de rejoindre le programme Full-Time MBA in Innovation Management de l’Ecole des Ponts Business School, Oladotun était Responsable de Projets « Mobile Money and Digital Projects » pour la Standard Bank Group en Afrique Subsaharienne. Il a ainsi conçu des produits de microcrédit à destination des petits exploitants agricoles et des commerçants ambulants.

Pourquoi êtes-vous venu étudier ici, à l'École des Ponts Business School ?
« J’étais à la recherche d’un MBA qui offrirait un cursus en Management de l’Innovation et en Design-Thinking. J’avais déjà de l’expérience en gestion de produit, mais une grande partie de cette expérience s’était concentrée sur l’analyse décisionnelle et la mise en œuvre de projets. J’avais envie d’être plus impliqué dans les processus de décision stratégique et cela nécessitait de développer des compétences managériales et de leadership. En outre, je suis issu d’une formation d’ingénieur qui ne m’a pas préparé à remplir des fonctions de direction stratégiques dans de grandes institutions. »

«Apprendre le management de l’innovation en travaillant tout au long de l’année pour des entreprises est une approche inédite dans le milieu des Business Schools. Pendant les trois temps forts du cursus (Leadership, Conseil en Stratégie, et Gestion de l’Innovation), j’ai développé mes compétences en accompagnant des entreprises confrontées à des enjeux stratégiques. C’est la raison pour laquelle j’ai choisi de suivre mon MBA à l’Ecole des Ponts Business School. On nous demande en permanence de sortir de notre zone de confort ; cela nous permet de mettre nos nouvelles compétences à l’épreuve et de résoudre de vrais challenges d’entreprise.»

Vous avez dû démissionner de votre poste pour rejoindre ce programme MBA, regrettez-vous ce sacrifice ?
« Pas du tout ! Je me suis transformé et ai énormément appris. A la fin du troisième temps fort, j’aurai acquis suffisamment d’outils qui me permettront d’avoir un impact positif sur ma communauté – et j’espère sur le monde. Une fois mon MBA terminé je prévois de créer ma propre Start-up. Mon projet initial n’a pas changé depuis que j’ai commencé mon cursus, mais ma proposition de valeur et mon business plan se sont vraiment enrichis ! ».

Auriez-vous pu venir étudier en France sans cette aide ?
Cela aurait été quasiment impossible. J'aurais dû faire un emprunt bancaire dont les taux d’intérêt peuvent atteindre 36% au Nigéria, ce qui était rédhibitoire. J'aurais dû contracter une dette énorme qui aurait mis des années à être épongée. Cette bourse m’a permis de venir en France, et d’acquérir les compétences nécessaires à mon projet professionnel. Grâce à elle, je peux me lancer dans mes projets en toute sérénité ».

En quoi le MBA de l’Ecole des Ponts Business School a transformé votre carrière J'avais deux objectifs principaux au moment d’explorer la piste des MBA : réfléchir à des modèles économiques innovants et développer les compétences nécessaires au lancement de sa propre entreprise. Ce que j’ai acquis dépasse mes espérances, la profondeur de champs relative à l’innovation et le management d’entreprise, que nous avons acquis pendant cette formation à la Business School de l’École des Ponts, sont phénoménaux. Nous avons été exposés aux différentes perspectives de professeurs venus des meilleures universités du monde entier, et cela n’a pas de prix ! »

Francisco Lobo LOBO RODRIGUES

Elève ingénieur (Génie Civil et Construction – promo 2019)

Francisco LOBO RODRIGUES, élève ingénieur (Génie Civil et Construction – promo 2019) de nationalité Brésilienne, bénéficiaire d’une bourse de la Fondation des Ponts.

Sans votre soutien, je ne serais pas où je suis maintenant !

Quel est ton parcours ?
Je suis élève au sein du département Génie Civil et Construction. Avant de venir en France, je suivais mes études à l’ITA (Instituto Tecnológico de Aeronáutica), une école militaire au Brésil, dans le domaine du Génie Civil-Aéronautique.

Qu’est-ce qui t’a poussé à postuler à l’École des Ponts ParisTech ?
Il y a deux facteurs principaux qui m’ont motivé à venir aux Ponts. L’expérience à l’étranger et le nom de l’École. Je savais qu’un séjour hors de mon pays d’origine me permettrait de parler Français, et que je deviendrai un professionnel de premier ordre avec la formation aux Ponts et Chaussées.

Tu as bénéficié d’une bourse financée par la Fondation des Ponts, qu’est-ce que cela a changé pour toi ? Aurais-tu pu venir étudier ici sans cette aide ?
Franchement, cela m’a permis de venir en France. Ma famille au Brésil n’avait pas les moyens, et j’étais persuadé que, même en cas d’accord de l’École, je n’aurais pas pu venir car le coût de la vie est trop élevé en France. Je serai toujours reconnaissant à la Fondation pour cette bourse. J’espère vivement, dès que je serais diplômé, pouvoir aider et sponsoriser des élèves et rendre la pareille.

L’enseignement de l’École a-t-il répondu à tes attentes ?
Oui, l’École les a surpassées en effet. Je savais avant d’y venir qu’il s’agissait d’une très bonne École, mais je ne m’en attendais pas autant.

Une anecdote, un souvenir marquant de ton passage à l’École ?
L’année dernière, j’ai fait partie de l’équipe de Handball et cela a été une expérience inoubliable. C’est génial de mettre le maillot de l’École et la représenter dans les compétitions universitaires et les matchs en général. Cela m’a fait devenir encore plus fier d’être élève.

Un conseil à donner aux futurs étudiants ?
Il faut venir avec l’esprit ouvert à de nouvelles découvertes. Nous savons que l’École des Ponts nous donne plein d’opportunités de carrière et que c’est une grande École au niveau académique. Mais je dirais encore plus, l’ENPC est une école de vie. Ici, j’ai pu faire connaissance avec des gens venant de partout, en ayant un contact avec des cultures et manières de penser différentes de celle que j’étais habitué. Je crois que, grâce à cela, je suis quelqu’un de meilleur comme être humain et pas seulement au niveau scolaire.

Que penses-tu faire après l’École des Ponts ?
Je compte rester en France et travailler dans le domaine des structures légères (le sujet de mon stage). Au moins juste après le diplôme, je crois que travailler en France peut être beaucoup plus valorisant pour ma carrière. De plus, sur le sujet de l’ingénierie civile qui m’attire le plus, il y a plusieurs sociétés spécialisées en France où il doit être intéressant de commencer sa carrière et se développer.

Fatine BOUJNOUNI

Elève ingénieur (IMI, promo 2019)

Fatine BOUJNOUNI, élève ingénieur (IMI, promo 2019) de nationalité Marocaine, bénéficiaire d’une bourse de la Fondation des Ponts.

Quel est ton parcours ?
Je viens de l'École Hassania des travaux Publics et j'ai intégré l'École des Ponts dans le département Ingénierie Mathématique et Informatique, en double diplôme.

Qu’est-ce qui t’a poussé à postuler à l’École des Ponts ParisTech ?
L’envie de s’orienter plus vers les domaines de l’informatique et des mathématiques appliquées.

Tu as bénéficié d’une bourse financée par la Fondation des Ponts, qu’est-ce que cela a changé pour toi ? Aurais-tu pu venir étudier ici sans cette aide ?
Ca m’a beaucoup aidé pour couvrir les charges basiques (loyer, transport, téléphone...). Oui, j’aurais pu venir étudier sans cette aide, mais ça aurait été un peu difficile.

L’enseignement de l’École a-t-il répondu à tes attentes ?
Oui, la formation est de très bonne qualité.

Une anecdote, un souvenir marquant de ton passage à l’École ?
Au Maroc, dans les écoles d’ingénieurs il y a plus de filles que de garçons, ici c’est tout à fait le contraire. J’étais un peu surprise la première fois ou je suis entrée en classe, on était 5 filles ( dont on est deux étrangères ) et approximativement 50 garçons.

Un conseil à donner aux futurs étudiants ?
La formation à l’École des Ponts est très enrichissante. On apprend vraiment le métier, et les cours sont à jour. Une fois à l’École, on comprend vite pourquoi les ingénieurs des Ponts sont demandés dans le monde du travail.

Que penses-tu faire après l’École des Ponts ?
Peut-être une thèse. Je cherche toujours l’idée “séduisante” qui me donnera envie de passer à la recherche scientifique.

Alejandra Mejia Gomez

Elève ingénieur (Génie industriel – promo 2018)

Alejandra MEJIA GOMEZ, élève ingénieur (Génie industriel – promo 2018) de nationalité Colombienne, bénéficiaire d’une bourse de la Fondation des Ponts.

“Grâce à la Fondation, j’ai pu avoir la meilleure année de ma vie.”

Quel est ton parcours ?
J’ai commencé mes études en ingénierie à l’Université Nationale de Colombie où j’ai fait 4 ans, ensuite j’ai rejoint l’Ecole des Ponts comme élève-ingénieur en deuxième année dans le département Génie Industriel. Dans le cadre d’obtention de mon diplôme, j’ai décidé de faire une année de césure, car je considère que c’est la meilleure façon d’acquérir des connaissances de différents métiers et favoriser les liens théorie/pratique. J’ai donc intégré en septembre 2017 le groupe BNP Paribas dans l’équipe CIB consulting pour un stage de 6 mois.

Qu’est-ce qui t’a poussé à postuler à l’École des Ponts ParisTech ?
D’abord le fait d’avoir été la première École d’ingénierie au monde et qu’elle reste jusqu’à présent une des meilleures Écoles. Mais aussi par rapport à son excellence académique et la qualité de sa formation. J’appréciais aussi l’aspect très international de l’École qui favorise les échanges interculturels.

Tu as bénéficié d’une bourse financée par la Fondation des Ponts, qu’est-ce que cela a changé pour toi ? Aurais-tu pu venir étudier ici sans cette aide ?
La bourse de la Fondation des Ponts a TOUT changé pour moi. Avant de l’avoir j’avais décidé de venir à l’Ecole des Ponts mais je m’attendais à des conditions très différentes : je comptais travailler et contracter un prêt. Le fait d’avoir la bourse m’a permis de me focaliser dans les études pour avoir une meilleure performance et d’avoir une énorme tranquillité par rapport à ma situation financière future.

L’enseignement de l’École a-t-il répondu à tes attentes ?
L’enseignement à l’École a dépassé mes attentes. Mais ce n’est pas que ça, la vie associative, le réseau des anciens et les liens avec les entreprises m’ont permis d’avoir une expérience incroyable.

Une anecdote, un souvenir marquant de ton passage à l’École ?
Je ne pourrais pas en choisir qu’un. J’ai des souvenirs magnifiques de cette année, des conférences des anciens élevés qui viennent présenter leur parcours à l’École, le programme de parrainage international de Ponts Alliance, les activités du département (voyage, visites industrielles), les différentes activités des associations d’élèves, les campagnes BDE, les tournois sportifs…

Un conseil à donner aux futurs étudiants ?
Profitez au maximum de toutes les opportunités que vous donne l’École, c’est un endroit idéal pour construire un excellent projet professionnel et se former comme personne.

Que penses-tu faire après l’École des Ponts ?
Je ne sais pas encore, j’ai encore un an et demi pour décider mais j’aimerais bien m’orienter vers le domaine de la finance, en banque d’investissement ou financement de projets.

Gabriel NEVES ALVES FERREIRA

Élève ingénieur (promotion 2019)

Gabriel NEVES ALVES FERREIRA, étudiant en double diplôme (GCC et AMMS) de nationalité brésilienne, bénéficiaire d’une bourse de la Fondation des Ponts.

Quel est ton parcours à l’École des Ponts ?
J’ai intégré ENPC dans le cadre d’un double diplôme avec l’université fédérale du Minas Gerais (Brésil) pour le Master recherche parcours analyse multi échelles pour les matériaux et les structures (AMMS).

Comment as-tu connu l’École des Ponts ParisTech ? Qu’est-ce qui t’a poussé à y postuler ?
J’ai connu l’École grâce à mon université d’origine, lors de la présentation du programme de double diplôme.

As-tu bénéficié du programme de parrainage des élèves étrangers par Ponts Alumni ? Si oui, que t’a-t-il apporté ?
Oui. Ce programme a été intéressant pour mon intégration, principalement pour avoir un contact initial avec la culture française et avec le réseau des anciens élèves de l’École.

Tu as bénéficié d’une bourse financée par la Fondation des ponts, qu’est-ce que cela a changé pour toi ? Aurais-tu pu venir étudier ici sans cette aide ?
J’ai bénéficié de cette bourse pour ma troisième année à l’École, et cela m’a soutenu financièrement durant mon année d’études.

L’enseignement de l’École a-t-il répondu à tes attentes ?
Oui, je pense avoir beaucoup appris durant mes études à l’ENPC.

Une anecdote ou un souvenir marquant de ton passage à l’École ?
Durant le voyage de département au Luxembourg et à Metz avec le Génie Civil et Construction, j’ai vu pour la première fois des usines d’aciers, de bétons et de bois. Ces souvenirs m’ont beaucoup marqué. En plus, nous avons pu faire connaissance avec de nouveaux collègues. Et durant nos longs trajets en bus, j’ai découvert à ma grande surprise que certains jeux se jouaient dans plusieurs pays avec des noms différents.

Un conseil à donner aux futurs étudiants ?
Je conseille aux futurs étudiants d’effectuer un stage long en année de césure, s’ils ont la possibilité. Je pense que cela a un apport professionnel plus conséquent.

Que penses-tu faire après l’École des Ponts ?
Actuellement, je finalise mes études au Brésil (dans mon université d’origine). Ensuite, je compte retourner en France pour le début de ma carrière professionnelle.

Lucas Magno ROCHA BOTELHO

Diplômé (Génie Civil et Construction – promo 2018)

Lucas Magno ROCHA BOTELHO, ingénieur diplômé (Génie Civil et Construction – promo 2018) de nationalité Brésilienne, bénéficiaire d’une bourse de la Fondation des Ponts.

"C'est grâce a cette bourse que je suis ici, en France,et je vous remercie vivement l'opportunité que vous m'avez donné. Alors le moins que je puisse faire est de vous partager mon témoignage, pour vous montrer la différence que vous faites dans la vie de chaque élève, en donnant la possibilité d'étudier dans une grande École magnifique."

Quel est ton parcours ?
A la recherche de nouveaux défis après le collège, j’ai intégré un lycée militaire au Brésil, où j’ai appris la discipline, et le goût pour les sciences exactes. Grace à ce lycée, j’ai eu l’opportunité d’intégrer une prépa considérée comme l'une des meilleures au Brésil, gratuitement. Après avoir réussi le concours pour étudier l’ingénierie civil à l’"Universidade Federal de Minas Gerais", dans les premiers 6 mois, j’ai entendu parler du programme de double diplôme avec l’ENPC. Résultat : j’ai commencé le cours de français tout de suite, et aujourd’hui, après 5 ans, je suis un ingénieur diplômé, après une année de césure dans une des plus grandes entreprises dans le domaine de géotechnique et fondation.

Qu’est-ce qui t’a poussé à postuler à l’École des Ponts ParisTech ?
Tout d'abord, je dirais l’expérience à l’étranger, comme aussi le fait d’avoir 24, 25 ans et 2 diplômes ! Ensuite, en cherchant des informations à propos de l’ENPC, j’ai trouvé aussi que le domaine de la géotechnique, celui qui m'intéresse tout particulièrement, est assez fort. Habiter à Paris pendant ces 3 ans n’est pas mal aussi.

Tu as bénéficié d’une bourse financée par la Fondation des Ponts, qu’est-ce que cela a changé pour toi ? Aurais-tu pu venir étudier ici sans cette aide ?
Franchement, la bourse financée par la Fondation des Ponts a tout changée ! Grâce à cette bourse, j'ai pu profiter, d’après moi, de la plus grande opportunité de toute ma vie. Au début j’avais pensé de venir en France même sans bourse. Malheureusement, à cause de la crise économique au Brésil, en parlant avec mes parents, j'avais dû laisser tomber cette idée. Après avoir reçu la confirmation de la bourse de la Fondation des Ponts, j'ai tout de suite commencé à préparer les documents comme le billet d’avion, le visa…et j'ai eu mon passeport juste 3h avant le vol !

L’enseignement de l’École a-t-il répondu à tes attentes ?
Tout à fait. À l’ENPC, on a un côté plus pratique, avec de nombreux projets, tandis qu’au Brésil, la plupart des évaluations étaient des examens, toujours plus théoriques. Par exemple, dans le voyage de département, la première semaine de cours, j’ai fait plus de visites techniques que pendant tout mon parcours au Brésil. Il y a aussi les clubs, associations…je suis fasciné par cette École !

Une anecdote, un souvenir marquant de ton passage à l’École ?
À mon université au Brésil est interdit de vendre de l’alcool, même les boissons avec un faible degré. Quand je suis arrivé à l’École des Ponts, j’ai trouvé assez drôle le fait qu’il y ait un espace réservé pour la vente de bières et que l’on peut même acheter avec la carte étudiante.

Un conseil à donner aux futurs étudiants ?
Profitez de chaque opportunité, comme les cours, les conférences, la diversité culturelle, habiter à Paris, l’ambiance…profitez au maximum ! Ça passe trop vite.

Que penses-tu faire après l’École des Ponts ?
J’ai trouvé un métier assez intéressant pendant mon stage : le calcul géotechnique dans le domaine du séisme et dynamique des structures. Comme on n’a pas trop de problèmes liés aux séismes au Brésil, ma première idée est, après l'obtention de mon diplôme au Brésil (il faut que je finisse mes études au Brésil), retourner pour travailler ici en France ou d’autre pays Européen. Tout cela dépendra des opportunités

Nhat Hoang NGUYEN

Elève ingénieur (GCC, promo 2020)

Nhat Hoang NGUYEN, élève ingénieur (Génie Civil et Construction, promo 2020) de nationalité Vietnamienne, bénéficiaire d’une bourse de la Fondation des Ponts.

Tu as bénéficié d’une bourse financée par la Fondation des Ponts, qu’est-ce que cela a changé pour toi ? Aurais-tu pu venir étudier ici sans cette aide ?
La bourse m'a permise de payer mon logement et une partie de coût de la vie. Cela aurait été impossible d’étudier à l’École des Ponts ParisTech sans cette aide.

L’enseignement de l’École a-t-il répondu à tes attentes ?

Oui, bien sûr. J’ai appris des nouvelles connaissances générale et spécialisées à l’école.

Une anecdote, un souvenir marquant de ton passage à l’École ?

Pour moi, c’est la semaine de géologie. Nous avons visité plusieurs endroits géologiques en Île-deFrance et en Normandie. Pendant la semaine, j’ai acquis des informations générales de géologie qui m'ont beaucoup aidé pour le deuxième semestre.

Un conseil à donner aux futurs étudiants ?

L’École des Ponts ParisTech est une grande école, donc normalement le parcours est difficile. Il faut passer beaucoup de temps a étudier, mais, on doit aussi passer du temps pour participer aux activités associatives de l’école pour améliorer la relation entre élèves.

Que penses-tu faire après l’École des Ponts ?
Je souhaite travailler dans une entreprise en France pour améliorer mon savoir-faire et mes connaissances dans la géotechnique.