Pour encourager une nouvelle génération d’ingénieures
Cliquez sur l’image pour l’agrandir.
Pourquoi les grandes écoles d’ingénieurs françaises manquent-elles encore de jeunes femmes, alors que le monde professionnel a besoin de leurs talents ?
L’exposition “Un cliché contre des clichés : ingénieures, un métier au féminin pluriel” , diplômées de l’École nationale des ponts et chaussées, incarnent la diversité et la richesse des métiers exercés à la sortie de l’école..
À travers leurs parcours, elles montrent que l’ingénierie est un domaine où tout est possible. Ce projet, soutenu par nos donateurs, porte une ambition forte : ouvrir la voie à une nouvelle génération.
Grâce à votre générosité et votre soutien, nous avons non seulement atteint, mais dépassé notre objectif !
Cette belle réussite nous permet de financer intégralement cette exposition : « Un cliché contre des clichés : ingénieures, un métier au féminin pluriel ».
L'exposition en mouvement
La Nuit des Ponts : La génèse du projet
Brillamment présenté par Alicia Benmeziani (P2022), notre lauréate du prix Pasquet spécial 2023, l’ambition initiale était claire : faire des Ponts un établissement à l’avant-garde de la féminisation de la filière ingénieur.
C’est le deuxième projet ayant récolté le plus grand nombre de dons (derrière le projet pour l’égalité des chances)
Exposition "Un cliché contre des clichés" : Met en lumière les parcours de 21 femmes ingénieures
Chaque portrait raconte une histoire, celle d’une femme diplômée des Ponts qui a su dépasser les barrières et tracer son propre chemin dans un monde encore majoritairement masculin.
-
29 % de femmes à l’École aujourd’hui : un chiffre en progression, mais encore insuffisant.
- Des portraits dans des lieux symboliques, accompagnés de témoignages sincères et de capsules audio pour donner vie à ces récits.
Un Hommage à Marie-France Clugnet, Première Femme Admise à l’École
Première femme entrée à l’École en 1959, Marie-France Clugnet a été diplômée en 1962 et a ensuite effectué une longue carrière au Ministère chargé de l’Equipement et des Transports de l’époque.
Décédée en 2008, c’est son mari – que nous remercions chaleureusement – qui a accepté d’associer le nom de son épouse au projet.

Marie-France Clugnet à l’occasion du bal des Ponts 1961.
Pour aller plus loin :
- Dans le cadre de son action pour la promotion des carrières scientifiques féminines, la Fondation a récemment collaboré avec Madame Figaro sur un article consacré aux femmes et aux mathématiques. Virginie Ehrlacher, professeure et chercheuse à l’École des Ponts ParisTech, y a partagé son expertise et ses conseils pour encourager les jeunes filles à s’intéresser aux mathématiques.